Commission EAF de la CPME Isère : quelques principes d'écologie humaine...

Le 21 février dernier, un grand nombre d’adhérentes ont eu un réel plaisir à se retrouver en visio, à l’invitation de Stéphanie ROYER, animatrice du groupe, pour échanger sur quelques principes d’écologie humaine (sens, reconnaissance, utilité, pouvoir d’action) et de bien-être au travail.

Loïck ROCHE, brillant conférencier et Directeur de Grenoble Ecole de Management, a posé le sujet en faisant référence à Vladimir Jankélévitch, un philosophe très moderne, un philosophe du devenir, auteur de l’ouvrage « Le Je-ne-sais quoi et le Presque-rien », dans lequel il essaie de capter ce Je-ne-sais-quoi qui semble ne reposer que sur un Presque-rien, mais qui rend le tout possible. Quelque chose d’extrêmement fugace. Un moment de parfait équilibre où tout semble juste et parfait.

Et c’est justement cet immense travail des dirigeants et des dirigeantes qui parmi tout ce qui leur incombe doivent capter et mettre en place ces moments de parfait équilibre. Cet équilibre du bien-être des personnes et du bien-être de l’entreprise et au-delà, l’équilibre de notre Planète et du vivant.

Loïck ROCHE a expliqué aux dirigeantes que le bien-être au travail se construit à deux – Entreprises, c’est-à-dire dirigeants et dirigeantes – et Salariés qui sont coresponsables du bien-être au travail. Il faut aussi pour qu’il y ait bien-être au travail qu’un certain nombre de conditions extérieures soient réunies, conditions détaillées par le conférencier.

Les dirigeants et les dirigeantes sont l’incarnation vivante d’une vision de l’entreprise, si immense et si puissante, que les hommes et les femmes avec lesquels ils travaillent veulent s’y inclure, « ils veulent en être… »

A l’issue d’un échange très riche avec les participantes et un travail en sous-groupes, Loïck ROCHE a conclu que l’on doit être capable de mettre, et pour de bon, les hommes et les femmes au centre de nos préoccupations, mais aussi en face des responsabilités qui sont les leurs, des responsabilités que seuls ils peuvent et doivent assumer, que l’on pourra créer de la valeur pour un monde plus responsable, parce que plus juste et donc, plus durable.

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